Se déroulait le 30 septembre et 1 octobre à Paris le congrès IPSN sous la thématique « la santé au naturel, tout au long de la vie ». Nous avons eu l’occasion d’y rencontrer Dr Astrid Stuckelberger, enseignante à la Faculté de médecine de l’Université de Genève et experte de la lutte contre le vieillissement et la médecine anti-âge.
Interview
- Vous enseignez à la faculté de Médecine de l’Université de Genève depuis de nombreuses années et vous avez publié en 2012 un guide de la médecine anti-âge qui fait référence. En préparant cette interview, je me suis aperçue avec surprise que votre ouvrage est épuisé en librairie! Est-ce que cela veut dire que vous préparez une mise à jour cinq ans plus tard?
- Les hommes, comme les femmes, après 50 ans, sont très réticents à recourir à des compléments hormonaux, tous craignent évidemment les cancers hormono-dépendants (sein, prostate essentiellement). Ont-ils raison ?
- Parlez-nous du vieillissement cérébral, du déclin cognitif qui fait si peur à tant de monde, est-ce vraiment inéluctable ?
- Pensez-vous qu’il puisse exister une diététique particulière aux plus de 60, puis 70 puis 80 et au-delà?
- La question des activités sportives et sexuelles est rarement abordé s’agissant du troisième et du quatrième âge. Est-ce vraiment un sujet ?