Effectuer une psychothérapie est loin d’être facile : c’est travailler des choses douloureuses, se remettre profondément en question, affronter des émotions et événements de vie qu’on préférerait oublier, etc. C’est pourquoi les patients mettent en place des résistances, à un moment ou à un autre de leur travail thérapeutique.
Ces résistances apparaissent souvent comme des phrases-clés spécifiques. Il est alors important de les relever, afin de les évoquer en séances, élaborer autour, voir à quels problématiques / peurs / blocages elles sont liées, afin d’aller au-delà et de pouvoir poursuivre le travail psychothérapeutique.
Voici donc quelques unes des résistances que j’entends en consultation.
0mn25 : De nombreuses résistances inconscientes
1mn00 : Résistance #1 : Je n’ai pas le temps !
2mn29 : Résistance #2 : Je n’ai pas les moyens !
4mn10 : Résistance #3 : ça va faire doublon avec la kiné / la sophro / l’hypnose, etc.
5mn31 : Résistance #4 : J’ai une réunion de dernière minute / mon fils est malade / etc.
7mn09 : Ces résistances, qu’est ce qu’on en fait ?